...“entrambas a porfía”
DOI :
https://doi.org/10.35494/topsem.2013.2.30.46Mots-clés :
dissonance, harmonie, énonciation, acharnement, confluenceRésumé
La littérature, considérée comme une composition instrumentale, offre à la fois des consonances et des dissonances. Ces dernières sont plus évidentes si l’on prend comme point de départ l’énonciation dans laquelle on peut trouver différents registres en fonction des différentes formes d’apparition du moi. La question est de savoir si ces moi doivent toujours s’accorder entre eux ou bien s’ils coexistent de façon dissonante. Comme nous le savons, surtout en ce qui concerne les compositions poétiques de type classique, nous avons à l’origine une recherche acharné de l’accord. Mais peut on parler d’une littérature de la dissonance, d’une volonté de s’éloigner de l’accord, par exemple dans des oeuvres comme celles de Joyce ? Ou bien encore lorsque dans l’exercice de l’écriture la main semble suivre son propre cours et s’écarter du vouloir de l’auteur qui, tout à sa tâche, sent que c’est elle qui s’acharne à introduire des changements de ton ?
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